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Historique de la maison d'horlogerie Urwerk



URWERK SA, fondée en 1997, est la maison horlogère dont « on parle » en ce début de siècle. Audacieuse, elle secoue le monde de la haute horlogerie en y imposant sa vision du temps. Frondeuse, dissidente, innovante, autant d’adjectifs qui lui collent à la peau mais qui, à eux seuls ne peuvent résumer sa philosophie.
Car si URWERK est jeune, ses racines prennent leurs sources en 6000ans avant J.C dans la ville de Ur en Mésopotamie. Les Sumériens, observant l’ombre portée du soleil sur leurs monuments, furent à l’origine de la définition de l’unité de temps telle que nous la connaissons encore aujourd’hui. Coïncidence ou signe des temps, le mot Ur, signifie également le début, les origines en langue allemande.
La dernière syllabe de la signature URWERK, est un emprunt à la langue de Dante. Le verbe « werk », y a la signification de façonner, travailler, innover. Un hommage au travail constant des maîtres horlogers qui se sont succédés jusqu’à nos jours façonnant ce que nous appelons aujourd’hui la haute horlogerie.

URWERK c’est aussi deux esprits forts, deux personnalités bien trempées. Felix Baugmartner, maître horloger, est fils et petit-fils d’horlogers. Autant d’arguments qui en font un artisan à 200%. Si d’autres parlent de garde-temps comme l’on parle d’un passe-temps, pour lui, ils sont au centre de sa vie. Avant même d’être brillamment diplômé de l’école de Schaffhausen, son terrain de jeu se délimitait en termes mécaniques : calendrier perpétuel, tourbillon ou répétition minute. Les pièces de collection restaurées avec amour par son père exerçaient sur lui une attirance quasi hypnotique. Une attirance compréhensible quand on sait que le carillon de la pendule du salon familial rythma chacune des heures de sa jeunesse.

Martin Frei, artiste designer, est l’alter-ego de Felix Baumgartner. En 1987, étudiant en art de l’école de Hochschule für Gestaltung und Kunst à Lucerne, il s’essaie avec succès à toutes les formes d’expression créative : sculpture, peinture, vidéo. Il croise alors le chemin de Felix Baumgartner. Martin Frei est un jeune homme en pleine maturité artistique. Ouvert à tous les courants, il est un véritable creuset d’influence et de culture. Il est fasciné par la définition du temps et son expression à travers les âges. L’amitié naît rapidement entre les deux hommes qui naturellement passent de longues heures à disserter sur le fossé existant entre l’horlogerie telle qu’ils la rêvent et celle qu’ils voient s’étaler dans les vitrines.

That heritage goes back to the roots of time, reflected in the name of their company. URWERK means “original accomplishment,” and Ur of the Chaldees, Abraham’s city in biblical Mesopotamia, is where the Sumerians first observed the concurrence of the heavenly bodies with the seasons, and so developed the first measurements of time.

Martin-Frei-_-Felix-Baumgartner

URWERK is what translates the hearts and minds of its founding partners into sensational watchmaking. Felix Baumgartner, a watchmaker like his father and grandfather, has time running through his veins. A star graduate from the Schaffhausen watchmaking school, Felix learned the secret language of minute-repeaters, tourbillons and perpetual calendars at his father’s bench.

Martin Frei is the artistic counterweight to his partner’s technical expertise. Accepted into the Lucerne’s college of art and design in 1987, Martin delved into every form of visual artistic expression from painting and sculpture to video, emerging as a mature artist.

Their first watch, developed in the early nineties, was inspired by the 17th-century night clock built by the Campanus brothers. In it, each hour on a rotating disc rises and sets in an arc like the sun. The wandering hour has since formed the basis for URWERK’s astonishing 103 watch and the latest model, the 201. Both feature highly original design, advanced watchmaking techniques and new concepts such as the control board.