logo horlogerie-suisse horlogerie-suisse



MB&F

 

Nouveautés 2013 des montres MB&F


Legacy Machine N°2 (LM2)

Legacy Machine N°2 (LM2)Oscillant en hauteur, le double balancier mis à l’honneur dans la LM2 s’inspire des doubles régulateurs historiques et leur rend hommage.
Ces mécanismes sont parmi les plus rares dans l’horlogerie. Plus rares encore sont les modèles qui régulent un seul train de rouages – on trouve plus souvent deux mouvements indépendants. Dans la Legacy Machine N°2, la moyenne des marches des balanciers est établie par un différentiel.
Sous un dôme en saphir bombé, le cadran de la Legacy Machine N°2, dont la base est en réalité la platine supérieure délicatement décorée du mouvement, est une illustration parfaite de la symétrie.
De haut en bas : l’équilibre entre le petit cadran en laque tendue blanche rehaussé d’aiguilles en or bleui, à 12 heures, et le grand différentiel surélevé, à 6 heures.
De gauche à droite : l’effet miroir des deux balanciers flottants et de leurs échappements qui se prolonge jusqu’à la position des porte-pitons des spiraux.
Bien que les deux balanciers qui oscillent en lévitation attirent et retiennent l’oeil du spectateur, c’est le grand différentiel planétaire rehaussé sur le cadran qui est le véritable cœur de la Legacy Machine N°2. Créer un mécanisme de haute précision aussi complexe relève de l’exploit − la rareté des montres à multiples régulateurs reliés par un seul différentiel en témoigne. Son rôle est triple : fournir l’énergie à chacun des régulateurs, enregistrer les cadences de chaque balancier et transmettre la moyenne des marches de ceux-ci au rouage pour, finalement, intervenir dans l’affichage de l’heure.
Le mouvement de la Legacy Machine N°2 a été développé, sous la directive de MB&F, par l’horloger Jean-Francois Mojon (Meilleur Horloger au Grand Prix d’Horlogerie de Genève 2010) et son équipe de Chronode.
L’esthétique a été placée sous la responsabilité de l’horloger indépendant renommé Kari Voutilainen. Il a défini les superbes finitions main en s’assurant de leur conformité avec les mouvements des montres d’exception du XIXe siècle.

Legacy Machine N°2 (LM2)Legacy Machine N°2 (LM2)

Oscillating on high, the exalted double balance wheels of LM2 were inspired by, and pay homage to, one of the rarest mechanisms in the history of watchmaking: the dual regulator. And rarer still, the average rates of Legacy Machine No. 2’s dual regulators are transmitted by a differential to a single gear train, where the majority had two separate movements.
Legacy Machine N°2 (LM2)On display under a domed sapphire crystal cupola, the dial of Legacy Machine No. 2, which is actually the top plate of the exquisitely finished movement, is an object lesson in symmetrical simplicity.
Top to bottom: the white stretched lacquer sub dial at 12 o’clock, with its blued gold hour and minute hands, is visually balanced by the large, raised differential at 6 o’clock.
Left to right: the two flying balances and their escapements are identical mirror images, right down to the position of the stud holders pinning their balance springs. While the levitated oscillating balance wheels of the binary regulators catch and hold the viewer’s gaze, it is the large planetary differential sitting proud of the dial that is the real heart of Legacy Machine No. 2.
In an incredible feat of micro-engineering − and the sheer paucity of timepieces with multiple regulators connected via a differential attests to the enormous difficulty in creating such a complex high-precision mechanism − the differential has three roles: 1. Transferring power to each of the regulators; 2. Receiving the individual timing rates from each balance; and 3. Transmitting the average rate of the two regulators to the gear train, where it finally manifests itself as the displayed time.
The movement of Legacy Machine No. 2 was developed to MB&F’s specifications by award-winning watchmaker Jean-François Mojon (Best Watchmaker at the 2010 Grand Prix d’Horlogerie de Genève) and his team at Chronode.
Acclaimed independent watchmaker Kari Voutilainen ensured that the movement’s aesthetic style was consistent with highquality traditional timepieces of the 19th century and for specifying the superlative handfinishing.

Horological Machine N°4 Final Edition

Horological Machine N°4 Final EditionLe sensationnel F-117 Nighthawk de Lockheed fut le premier avion furtif opérationnel du monde. Bien que visuellement reconnaissable entre tous, ses panneaux plats à facettes renvoyaient les ondes radar et ses surfaces noires se fondaient dans le ciel nocturne.
Le Nighthawk était également révolutionnaire par sa structure, un mélange d'aluminium et de titane. Comme l'emblématique F-117, la HM4 Final Edition dispose de panneaux angulaires carrés, de surfaces sombres et de titane high-tech. Elle paraît à la fois rapide et menaçante. Et à ce jour, on n'a pas signalé de Final Edition détectée par un radar. On peut donc la qualifier également de "furtive". Inspirés par l’aéronautique, le boîtier et le moteur de la Horological Machine N°4, présentée pour la première fois en 2010, ne font qu’un. Le boîtier de cette "Final Edition" 2013 associe le titane, pour sa légèreté et sa solidité, au saphir pour une section centrale permettant d'admirer le moteur.
Le traitement en PVD noir procure au titane le manteau sombre de la dissimulation sans empêcher la lumière de faire ressortir les contrastes des surfaces mates et polies.
La HM4 Finale Edition est une édition limitée furtive de huit pièces seulement. Avec elle se ferme le livre de la ligne HM4, qui fut limitée à 100 mouvements sur tous les modèles.

Lockheed’s sensational F-117 Nighthawk was the world’s first operational stealth aircraft. While visually unmistakable, the F-117’s flat, faceted panels reflected radar away from detection and its dark surfaces blended seamlessly with the night sky. The Nighthawk was also revolutionary in the fact that its structure was a mix of aluminium and titanium.
Like the iconic F-117, HM4 Final Edition features square angular panels, dark surfaces and high-tech titanium. It looks fast. It looks menacing. And to date there have been no reports of a Final Edition being picked up by radar, so that’s the ‘stealth’ box ticked as well.
The aviation-inspired case and engine of Horological Machine No. 4 – first launched in 2010 – are one. This 2013 'Final Edition' case blends high-tech titanium for its lightweight and strength with a sapphire centre section offering a view into the engine.
Black PVD provides the titanium with its shadowy cloak of concealment without blocking the light playing off the contrasting matte and highly polished surfaces.
HM4 Final Edition is an elusive limited edition of just eight pieces. It closes the book on the HM4 series, which was limited to only 100 movements over all models

Eric Cosandey

©logo
toute reproduction strictement interdite