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      et de la bijouterie
Avec nos remerciements pour ces trésors à la société Promoédition, éditeur de : Heure Suisse, l'Année Horlogère Suisse et du Journal Suisse de l'Horlogerie.
Gyromatic de Girard Perregaux
Une simplification du dispositif de remontage des montres automatiques
 Dans sa conquête de haute lutte du marché de la  montre-bracelet, la montre automatique rencontre des obstacles de toutes  sortes. Certains, d'ordre psychologique, ont déjà à peu près disparu ;  d'autres, d'ordre technique, sont déjà en partie surmontés ou le seront très  probablement un jour prochain.
Dans sa conquête de haute lutte du marché de la  montre-bracelet, la montre automatique rencontre des obstacles de toutes  sortes. Certains, d'ordre psychologique, ont déjà à peu près disparu ;  d'autres, d'ordre technique, sont déjà en partie surmontés ou le seront très  probablement un jour prochain.
      La montre automatique prétend être la montre de tout le  monde. Or, il y a des gens calmes aux gestes rares et lents qui n'arrivent pas  toujours à maintenir le ressort de barillet dans l'état de tension nécessaire.  Pour ceux-ci, une montre automatique quelconque ne suffit pas, il faut une  montre bien étudiée et bien construite de façon que le moindre mouvement mette  en branle le rotor qui remontera le ressort de barillet. Ce résultat ne peut  être obtenu qu'avec un rotor très libre dont chaque mouvement soit transmis à  l'arbre de barillet avec le minimum de perte.
      La transformation du mouvement de va-et-vient du rotor en un  mouvement de rotation toujours du même sens, de l'arbre de barillet, est un  problème qui a reçu bien des solutions. Nous en signalons une qui a l'avantage  de la simplicité et qui ne fait appel à aucune pièce menacée d'usure plus ou  moins rapide telle que rochet, cliquet, ressort.
Dans cette montre, appelée par la maison Girard-Perregaux et  Cie, « Gyromatic », la transmission de l'énergie à partir du rotor se fait au  moyen d'un embrayage  spécial dit « à  roue libre » dont voici le principe : il s'agit d'obtenir une liaison non permanente  entre deux organes coaxiaux :      l'un  est un disque solidaire de l'arbre avec lequel il tourne, arbre portant un  pignon appelé à entraîner - indirectement – le rochet de barillet ; l'autre est  une couronne circulaire munie d'une denture extérieure. La couronne n'a aucun  contact avec le disque qu'elle doit entraîner ; elle porte, à sa partie  intérieure, un certain nombre d'entailles de forme à peu près trapézoïdale dont  chacune abrite un petit galet cylindrique en rubis. L'entaille n'a pas la même  profondeur partout, celle-ci augmente progressivement d'une extrémité de  l'entaille à l'autre. Lorsque le galet est dans la partie la plus étroite de  son abri, il est fortement pressé contre le disque qui est ainsi relié à la  couronne. Ceci arrive quand cette dernière est entraînée par le rotor dans un  certain sens. Si le rotor va dans l'autre sens, la couronne tourne aussi dans  le sens opposé à celui de son premier mouvement, le galet est poussé dans la  partie plus large de son logement, le disque n'est pas entraîné.
      Quelques organes forment un ensemble qui constitue un  dispositif d'embrayage-débrayage : ce sont d'abord un arbre destiné à tourner  dans des paliers et sur lequel sont fixés un pignon et le disque central, une  couronne circulaire coaxiale au disque, dentée et entaillée sur son pourtour  intérieur et une série de galets en rubis dont chacun est logé dans une  entaille de la couronne. Ajoutez deux plaques très minces, solidaires de  l'arbre et destinées à maintenir les galets dans leur logement. La partie  centrale forme, après montage, un tout rigide composé (le l'arbre, du pignon,  du disque et des deux plaques de soutien des galets. Ceux-ci  dans le modèle que j'ai sous les yeux, ils  sont au nombre de 7 - sont naturellement libres ; ce sont (le petits cylindres  en rubis, donc très durs, notablement plus durs que le disque central en acier.
      La couronne extérieure n'a pas de partie centrale ; elle est  concentrique au disque, mais avec un certain jeu ; elle est libre, son  mouvement est indépendant de celui du bloc central (arbre, pignon, disque) et,  à l'ordinaire, il ne peut pas se transmettre à ce bloc. Mais il y a les galets  dont nous avons expliqué le rôle d'agents chargés de l'embrayage  couronne-disque.
 Cet ensemble porte le nom de Gyrotron ; en tant qu'accouplement,  il fonctionne à sec ; les galets ne doivent pas être graissés, puisqu'ils sont  appelés à entraîner le disque central. La fabrique livre le Gyrotron  complètement monté. A l'occasion d'un nettoyage, le rhabilleur n'ayant aucune  raison de le démonter, ne court pas le risque de perdre un galet. Si le  rhabilleur est en même temps chef d'un magasin, il a intérêt à recommander à  ses clients des montres dont la réparation n'offre pas de difficultés et  n'exige pas trop de temps.
Cet ensemble porte le nom de Gyrotron ; en tant qu'accouplement,  il fonctionne à sec ; les galets ne doivent pas être graissés, puisqu'ils sont  appelés à entraîner le disque central. La fabrique livre le Gyrotron  complètement monté. A l'occasion d'un nettoyage, le rhabilleur n'ayant aucune  raison de le démonter, ne court pas le risque de perdre un galet. Si le  rhabilleur est en même temps chef d'un magasin, il a intérêt à recommander à  ses clients des montres dont la réparation n'offre pas de difficultés et  n'exige pas trop de temps.
      Les figures A et B montrent le fonctionnement du Gyrotron ;  dans la figure (le gauche, les galets sont coincés entre le pourtour (lu disque  et le fond de leur logement ; ils entraînent le disque. Dans la figure de  droite, les galets ont du jeu et la couronne tourne sans entraîner le disque.
      Deux Gyrotrons dont les couronnes engrènent l'une dans  l'autre suffisent. L'une d'elles est en engrenage avec un pignon du rotor. Les  deux couronnes ont des mouvements de rotation de sens inverses. Quand le rotor  tourne dans le sens des aiguilles de la montre, l'une des couronnes entraîne le  disque et l'arbre correspondants dont le pignon fait tourner le rochet de  barillet tandis que la seconde couronne entraînée en sens contraire de la  première tourne à vide. 

Lorsque le rotor ira dans le sens contraire à celui  (les aiguilles de la montre, la seconde couronne entraînera son disque et le  pignon chargé de transmettre l'énergie au ressort de barillet tandis que la  première couronne sera inactive. Ainsi le remontage du ressort se fait toujours  dans le même sens puisque les deux couronnes ont toujours des sens de rotation  opposés.
      Le principe du système d'embrayage appelé « embrayage à roue  libre » n'est pas nouveau ; il est appliqué à certaines machines-outils et à  certaines montres. L'exécution réalisée dans le Gyromatic semble de nature à  assurer le succès de ce système de remontage automatique.
      Il va de soi que le système exige, pour bien fonctionner,  une exécution impeccable. Mais il est peu sujet à l'usure et sa simplicité  donne confiance. Le rhabilleur n'aura pas de grosses difficultés à surmonter à  moins qu'il ne s'avise de démonter un des Gyrotrons, mais un tel démontage  n'est jamais nécessaire. Si, par hasard, un des Gyrotrons ne fonctionne pas  bien, le rhabilleur a la ressource de s'adresser à la fabrique qui lui en  enverra un autre en bon état.
L'embrayage-débrayage « Gyrotron » est un progrès au point de vue de la simplification (lu mécanisme (le remontage automatique ; il contribuera à accélérer la marche triomphante de la montre-bracelet automatique.
CALIBRES « GYROMATIC
      (S. A. Girard-Perregaux et Co., La Chaux-de-Fonds) No 19
 Caractéristiques
      11 1/2"' / Diamètre d'encageage 26 mm / Hauteur totale  5,50 mm / Petite seconde.
      No 21
      11 1/2"' / Diamètre d'encageage 26 mm / Hauteur totale  5,50 mm / Seconde au centre.
(Le calibre N° 21 peut également s'obtenir avec calendrier, soit date dans un guichet « sur trois heures ».)
La fig. 1 montre le calibre « Gyromatic » agrandi, vu depuis dessus.

      La masse oscillante de ce calibre se meut dans les deux  sens, sans limitation. Le remontage automatique s'opère quel que soit le sens  de rotation du rotor.
      Après avoir enlevé les trois vis du bâti (H, fig. 1), on  sépare facilement le bloc automatique complet du mouvement de base qui se  présente alors comme une montre simple.
       La fig. 2 montre le dispositif automatique vu depuis  dessous. Le pignon (A') servant d'axe au rotor pivote, dessus dans une pierre  fixée au bâti (H, fig. 1) et, dessous, dans une pierre chassée dans le pont inférieur  du dispositif automatique (L', fig. 2).
La fig. 2 montre le dispositif automatique vu depuis  dessous. Le pignon (A') servant d'axe au rotor pivote, dessus dans une pierre  fixée au bâti (H, fig. 1) et, dessous, dans une pierre chassée dans le pont inférieur  du dispositif automatique (L', fig. 2).
      La masse oscillante (A) se fixe sur son axe (A') par un  verrou (A") qui coulisse dans un fraisage de la masse (fig. 1) ; les deux  branches du verrou s'engageant dans de petites entrées pratiquées sur le pourtour  de Paie de masse oscillante, près de son extrémité supérieure.
      Pour séparer le rotor de son axe, il suffit de tirer le  verrou dans la position de la fig. 3, puis de retourner la pièce ; la masse  oscillante tombe sur l'établi.
      Pour mettre en place le verrou (passage de la position de la  fig. 3 à celle de la fig. 1), il faut « orienter » la masse oscillante par  rapport à son axe, de façon que les deux petits « biseaux » (parties foncées,  fig. 1) de l'extrémité supérieure de l'axe A' qui indiquent la direction des  petites entrées de l'axe de masse oscillante, correspondent à la direction  (sens de la longueur) du fraisage de la masse dans lequel coulisse le verrou  (fig. 1), sinon les branches du verrou ne pourraient s'engager dans les entrées  de l'axe. D'autre part, les branches du verrou étant plus épaisses à l'arrière  qu'à l'avant, plus on engage le verrou sur son axe, plus le rotor est fixé  solidement sur cet axe.
      Rouage automatique
      Deux roues « à galets » identiques, dites « Gyrotron » (D et  E, fig. 1) pivotent, dessus, dans des bouchons fixés au bâti (H, fig. 1) et,  dessous, dans des bouchons chassés dans le pont inférieur du dispositif  automatique (L', fig. 2). Le pont inférieur L' est fixé sous le bâti par deux  pieds et deux vis.
      Le mobile entraîneur de rochet (B", fig. 1) pivote,  dessus, dans un bouchon chassé dans le bâti H ; le pignon de ce mobile passe  librement dans un trou du pont inférieur L' (fig. 2). De ce fait, lorsqu'on  sépare le dispositif automatique du mouvement de base, le mobile B" reste avec  le dispositif automatique.
      Le pivot inférieur du mobile B" se place, lorsqu'on  pose le dispositif automatique monté sur le mouvement de base, dans un bouchon  chassé dans le pont de barillet, près du rochet avec lequel le pignon du mobile  B" vient alors engrener (fig. 8 et 9). Le pignon de masse oscillante  engrène uniquement avec la roue à galets « directe » (D, fig. 8 et 9). Les deux  roues à galets engrènent ensemble ; le pignon de chaque roue à galets engrène  avec la roue B" dont le pignon engrène avec le rochet.
      Tous les engrènements de ce dispositif sont donc permanents.
      Roue à galets (Gyrotron)
      La fig. 4 montre une roue à galets montée, vue depuis  dessus, et la fig. 5 la roue proprement dite, c'est-à-dire sa partie dentée  uniquement.
      Dans les fig. 6 et 7, le disque de recouvrement (d")  est supprimé, afin de voir le fonctionnement et, par une partie sectionnée de  la roue, on aperçoit le pignon.
      Une roue à galets montée se compose d'un pignon (D")  avec une tige supérieure et un pivot à chaque extrémité du mobile.
      Un plateau en acier (D') avec forte portée supérieure  centrale, donc plus épais au centre qu'au bord, est chassé sur la tige  supérieure du pignon. Un disque de recouvrement (d", fig. 4) dont le  dessus est poli, se fixe également sur la tige supérieure du pignon, au-dessus  du plateau D' ; la portée centrale située sous ce disque correspond et se  juxtapose à celle du plateau, de sorte que le pourtour des deux portées se  confond.
      Sept encoches sont creusées à l'intérieur de la roue  proprement dite (D, fig. 5). La courbe formant la paroi de l'encoche (d', fig.  5) n'est pas concentrique à la roue ; la distance de la partie avant (à droite)  de cette paroi au centre de la roue (rayon 1, fig. 5) est plus grande que la  distance de la partie arrière (à gauche) de la paroi au centre de la roue  (rayon 2, fig. 5). 
 La roue D est libre entre le plateau D' (fig. 6 et 7) et le  disque de recouvrement d" (fig. 4).
La roue D est libre entre le plateau D' (fig. 6 et 7) et le  disque de recouvrement d" (fig. 4).
      Sept galets cylindriques, en rubis (d, fig. 6 et 7), d'un  diamètre de 0,90 mm, sont logés dans les encoches de la roue D ; ils y sont  maintenus, dans le sens horizontal, extérieurement par les parois (d') des  encoches de la roue D et intérieurement par le bord de la portée du plateau  (D') et du disque de recouvrement (d"). Dans le sens vertical, les galets sont  maintenus, dessous par le rebord extérieur du plateau D', plus mince que le  centre et, dessus par le rebord mince du disque d" plus grand que la  portée également.
      Si on fait tourner la roue D, vue depuis dessus, à gauche  (fig. 6), les galets d, non sollicités, mais au contraire libérés par les  parois d', prennent immédiatement la position de la fig. 6; ils sont  parfaitement libres à l'intérieur des encoches de la roue dans lesquelles ils  ont même un léger jeu, le pourtour du galet ne s'appuyant donc pas contre le  pourtour des portées du plateau D' et du disque d". La roue D peut ainsi  tourner à gauche en toute liberté, c'est-à-dire sans entraîner le plateau D' ;  c'est la position de débrayage.
      Si, au contraire, la roue D, vue depuis dessus, est entraînée  à droite (fig. 7), immédiatement les courbes d' formant les parois des encoches  de la roue D entraînent les galets et les pressent contre le centre de la roue  ; les galets (d) s'arc-boutent contre le pourtour des portées du plateau D' et  du disque d" (position d'embrayage, fig. 7), d'où entraînement du disque  d", du plateau D' et du pignon D" sur lequel est fixé le plateau  D'.Ces ingénieuses roues à galets, dont le fonctionnement très sûr est  extrêmement rapide, sont brevetées.
      Fonctionnement (fig. 8 et 9)
      Afin de voir le fonctionnement, dans les fig. 8 et 9, nous  avons supprimé le bâti (H) et sectionné plusieurs organes.
      Lorsque la masse oscillante tourne à gauche (fig. 8), le  pignon de masse oscillante entraîne la roue à galets (D) à droite ; ses galets  prennent immédiatement la position d'embrayage (fig. 7) et entraînent le  plateau D' dont le pignon engrène avec le mobile B". Ce mobile est  entraîné à gauche et son pignon provoque le remontage, vu qu'il engrène avec le  rochet.
      La deuxième roue à galets (E) est alors entraînée à gauche  par la roue D et son pignon à droite par le mobile B", mais, dans ce sens,  c'est la position de débrayage (fig. 6), roue et pignon peuvent donc tourner en  sens inverse en toute liberté.
Lorsque la masse oscillante tourne à droite (fig. 9), le pignon de masse oscillante entraîne la première roue à galets (D) à gauche ; la roue D fait office de renvoi ; elle entraîne à son tour la deuxième roue à galets (E) à droite. Les galets de la roue E prennent immédiatement la position d'embrayage (fig. 7) et le pignon de la roue E entraîne la roue B" à gauche, soit dans le même sens que lorsque le rotor se mouvait à gauche, d'où remontage. La roue B" entraîne alors le pignon de la première roue à galets à droite, tandis que la roue du même mobile (D) est entraînée à gauche par le pignon de masse oscillante. Ici également, les galets étant sollicités dans la position de débrayage, la roue et son pignon peuvent tourner en sens inverse en toute liberté.

Lors du remontage manuel, le rochet entraîne la roue B" à gauche, en agissant sur son pignon. La roue B", en engrenage avec les deux pignons des roues à galets, fait tourner ces pignons à droite ainsi que leur plateau et disque de recouvrement dont ils sont solidaires. Les roues D et E ne sont par contre pas entraînées, car les galets sont sollicités par le pourtour de la portée du plateau et du disque, dans le sens de débrayage.
Remontage du dispositif
  Tenir le bâti renversé, c'est-à-dire avec le biseau dessous.  Mettre en place l'axe de masse oscillante (plus gros pivot dessous), les deux  roues à galets (pignon dessus) et la roue B" (pignon dessus).
      Poser et fixer le pont inférieur L'.
      Retourner ensuite le dispositif automatique monté et le  poser sur le mouvement de base, en remontant très légèrement par la couronne de  remontoir, afin que le pignon du mobile B" engrène correctement avec le  rochet.
      Fixer le dispositif automatique par ses trois vis (vis  longue entre le cliquet et la tige de remontoir).
      Poser la masse oscillante en l'orientant de façon que les  branches du verrou correspondent aux entrées de l'axe de masse oscillante.  (Voir début de la description et fig. 1.) Pousser le verrou dans la position de  la fig. 1. Contrôler le bon fonctionnement du dispositif.
      Quelques conseils
      Le rhabilleur ne doit, en aucun cas, démonter une roue à  galets, car il ne pourrait la remonter correctement, sans outillage spécial.
      Pour nettoyer une roue à galets, il suffit de la laisser,  durant un certain temps, dans un produit de nettoyage.
      Pour contrôler le fonctionnement d'une roue à galets, tenir  son pignon dans une brucelle en laiton (pignon dessous) ; la roue doit être  parfaitement libre à gauche, tandis qu'à droite la roue ne doit pas pouvoir  tourner sans entraîner le pignon.
      Il est préférable de ne pas huiler les galets, car  l'adhérence de ceux-ci provoquerait un freinage inutile. Une très petite goutte  d'huile, mise par inadvertance, n'empêchera cependant pas le fonctionnement  correct de la roue.
      Lubrification
      Huiler tous les pivotements des mobiles du dispositif  automatique avec de l'huile Synt-ALube.
      Ressort de barillet et ressort de freinage
      Lors du remplacement du ressort de barillet (incassable et  inaltérable) ou du ressort de freinage, employer uniquement des ressorts  d'origine. 
      Le très grand barillet de cette pièce lui assure plus de 36  heures de marche.
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