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Patek Philippe

 

 

 


Les nouveautés 2005 des montres Patek Philippe

Chronographe à rattrapante le plus plat jamais réalisé

Chronographe à rattrapante Patek-Philippe

Patek Philippe réaffirme sa maîtrise souveraine des complications en présentant le mouvement chronographe à rattrapante à roues à colonnes le plus plat jamais réalisé. Ce nouveau calibre CH R 27-525 PS est aussi le premier mouvement chronographe-bracelet entièrement conçu, développé et fabriqué au sein de la manufacture. Malgré son épaisseur de seulement 5,25 mm, il possède tous les signes distinctifs de la grande tradition horlogère et arbore, comme tous les mouvements mécaniques Patek Philippe, le prestigieux Poinçon de Genève. Il est logé dans un magnifique boîtier en platine dans le style classique des montres Officier, dont l’épaisseur ne dépasse pas 8,5 mm.
Cette performance n’a été rendue possible que par la création, il y a un peu plus d’un an, d’une section «Haute Horlogerie» constituée de petits ateliers de 5 à 6 maîtres-horlogers, se concentrant sur un seul type de complication et travaillant comme les «compagnons» d’antan. Dans ces ateliers, il n’est plus question de production en série; les artisans reviennent à une production de pièces uniques où chaque composant est terminé, limé, anglé, poli et ajusté pièce par pièce. On effectue ensuite un «repassage en blanc» (assemblage) pour vérifier si toutes les fonctions sont parfaites. Viennent enfin les opérations de démontage, nettoyage, remontage, lubrification et réglages.

dessin technique

Chronographe à rattrapante Patek-Philippe

Un mouvement qui crée l’événement

- Nouveau calibre extra-plat à remontage manuel CH R 27-525 PS
- Chronographe à rattrapante
- Chronographe à rattrapante à roues à colonnes le plus plat jamais réalisé
- Deux poussoirs (au lieu des trois poussoirs habituels pour les chronographes à rattrapante)
- Possibilité de garder en mémoire un temps de référence (afin par exemple de mesurer les deux «meilleurs temps»)
- Stop-secondes sur le balancier. Lorsque la couronne est tirée, permet de faire une mise à l’heure précise au top seconde
- Nouveaux profils de dents pour le mécanisme de chronographe (brevet Patek Philippe)
- Ponts à l’ancienne et pièces de forme (esthétique et terminaisons)
- Rubis chassés dans des chatons en or
- Boîtier en platine dans le style traditionnel des montres Officier.


Patek Philippe présente son célèbre Quantième Annuel sous deux nouveaux visages

La manufacture genevoise décline pour la première fois son mécanisme breveté dans une version exclusivement féminine, illuminée par l’éclat des diamants et de la nacre. Pour les hommes, la collection accueille un nouveau modèle de base au diamètre légèrement supérieur, avec des cadrans finement travaillés.

Quantième Annuel

Evolution subtile du modèle homme, le nouveau Quantième Annuel Réf. 5146 Patek Philippe répond à la tendance actuelle vers des boîtiers légèrement plus grands. Son diamètre de 39 mm, contre 37 mm précédemment, renforce sa présence, son caractère, sa personnalité. La taille supérieure du cadran permet également de donner plus d’espace et de lisibilité aux divers affichages: cadran auxiliaire des jours entre 9h et 10h, cadran auxiliaire des mois entre 2h et 3h, indication de la réserve de marche à 12h et guichet de la date à 6h, surmonté par le guichet des phases de lune près de l’axe central des aiguilles. Un bel équilibre, très contemporain. Conçu, assemblé et fini selon les critères exigeants du fameux Poinçon de Genève, le Calibre 315 Patek Philippe à remontage automatique, composé de 355 pièces, est visible à travers le fond saphir transparent. La nouvelle Réf. 5146 remplace l’actuel modèle de base Réf. 5035, lancé en 1996, dans la collection courante Patek Philippe.

La première montre Patek Philippe avec technologie silicium : le Quantième Annuel Réf. 5250 en édition spéciale limitée

Patek Philippe Advanced Research

Patek Philippe dévoile la première série « Patek Philippe Advanced Research ».
Il s’agit d’une exécution spéciale, en série limitée, d’une montre-bracelet automatique à Quantième Annuel, réf. 5250, présentée dans un nouveau boîtier de diamètre agrandi (39 mm), en or gris 18 carats.

Afin de différencier cette première série spéciale intégrant le concept nouvelles technologies, le fond saphir de la montre porte l’inscription : « Patek Philippe Advanced Research ». Son mouvement est doté d’une autre nouveauté technique. En effet, la masse en or 21 carats est équipée, pour la première fois, d’un roulement à billes en zirconium, qui, comme la roue d’ancre en silicium, ne nécessite pas de lubrification.

Patek Philippe Advanced Research, roue

Nouveauté mondiale Patek Philippe : première roue d’ancre en silicium pour échappement à ancre suisse

Une minuscule roue en silicium dans le rouage d’un mouvement horloger constitue un pas important dans l’histoire du développement de la mécanique horlogère. La première roue d’ancre en silicium monocristallin pour échappement à ancre suisse représente une véritable révolution dans le développement de l’art horloger.

roue dancre en silicium

La masse d’une roue en silicium, en raison de sa faible densité, est de deux tiers plus légère qu’une roue semblable en acier. Cette qualité physique est d’une importance majeure pour la roue d’échappement. En effet, la roue d’échappement d’une montre-bracelet est, selon sa fréquence, arrêtée, puis accélérée (demi-oscillation), 6 ou 8 fois par seconde. Cela représente, par exemple, 28 800 alternances par heure, 691 200 alternances par jour, ou 252 millions alternances par année, pour un mouvement qui bat à une fréquence de 4 Hertz.

Dans une montre traditionnelle à échappement à ancre suisse, 65% de l’énergie du mouvement est absorbée par le mécanisme d’échappement. Cela signifie que la masse de la roue d’échappement a une influence déterminante sur le fonctionnement du mouvement. Plus la masse de la roue est faible, plus l’accélération est importante, ce qui permet d’obtenir une meilleure transmission de l’énergie au balancier.

Nautilus

La Nautilus, incarnation de l’élégance sportive selon Patek Philippe, est proposée pour la première fois avec trois complications: indicateur de la réserve de marche, quantième à aiguille et phases de lune.

Nautilus

Outre l’affichage des heures, des minutes et des secondes, la nouvelle Nautilus Réf. 3712/1 intègre pour la première fois trois fonctions additionnelles. Trois complications utiles qui accompagnent en beauté la vie de tous les jours: un indicateur de la réserve de marche, un quantième à aiguille et un affichage des phases de lune. Grâce à leur construction inédite, la phase de lune et le quantième à aiguille consomment un minimum d’énergie. Les sauts du disque de la lune et de l’aiguille de la date sont commandés par deux rouages identiques ajustés respectivement sur le cycle lunaire et sur un cycle de 24 heures. Le changement automatique de la date s’opère en l’espace d’une heure. L’affichage des phases de lune se distingue par son exceptionnelle précision: il lui faut 122 ans et 45 jours pour diverger d’un seul jour par rapport au véritable cycle lunaire. Les affichages de la date et des phases de lune se règlent indépendamment au moyen de deux poussoirs logés dans le flanc du boîtier. Si ces corrections sont effectuées au moment du changement automatique de la date (c’est-à-dire autour de minuit), un dispositif de sécurité très raffiné protège le mécanisme contre tout dommage éventuel.

Autre innovation dans le mouvement de la nouvelle Nautilus: un petit mécanisme additionnel permet de libérer la couronne avec toute la tige de remontoir. Grâce à une minuscule ouverture en bordure du cadran, il est possible d’actionner une petite bascule qui libère la tirette de sa rainure dans la tige de remontoir. La tige de remontoir peut ainsi être introduite ou retirée d’un bloc, ce qui permet d’emboîter sans problème le mouvement dans le boîtier monobloc depuis le côté cadran.

Calatrava

Calatrava Réf. 6000 en or gris: une petite touche sportive

Calatrava

Un boîtier classique «réveillé» par un cadran vif et rythmé: la Réf. 6000 réinterprète le style Calatrava dans un esprit jeune, dynamique, contemporain. Son design un peu atypique s’inspire d’un modèle Calatrava des années 90 produit en nombre limité, la Réf. 5000, qui a eu un très grand succès et est devenue une pièce de collection. Patek Philippe lui a ajouté un quantième à aiguille, une complication typique des années 30, qui donne à la montre un look très original et offre une belle représentation spatiale du passage des jours, avec sa demi-lune rouge pointant la date tout autour du cadran. Le boîtier en or gris 18 carats se prolonge par des cornes élancées. Le cadran noir, avec chiffres arabes et aiguilles «bâton» blancs, rappelle les tableaux de borddes voitures de course; il est protégé par une glace saphir bombée avec traitement antireflet sur la face intérieure. La Réf. 6000 est équipée du mouvement mécanique extra-plat à remontage automatique, calibre 240 PS C, arborant le prestigieux Poinçon de Genève.

Calatrava Réf. 5296: une note très graphique

Pour dessiner le boîtier et le cadran, Patek Philippe s’est inspiré d’un célèbre modèle des années 30, la Réf. 96, qui figure aujourd’hui dans la collection permanente du Patek Philippe Museum. Mais le diamètre de la montre a été légèrement agrandi (38 mm). Le boîtier, au profil relativement plat, est en or gris 18 carats, poli sur la lunette et les flancs. Le cadran argenté se distingue par son décor «deux zones», ponctué par de fines décalques bleu marine formant un léger relief. Fidèle à l’esprit Calatrava, il offre une lisibilité optimale, avec ses aiguilles «feuille» en acier bleui se détachant sur le fond clair. Le mouvement mécanique à remontage automatique, marqué du Poinçon de Genève, est visible à travers le fond saphir transparent.