A. Lange & Söhne
LANGE DOUBLE SPLIT
« A. Lange & Söhne » vient de libérer le chronographe à rattrapante de sa limitation à des temps de 60 secondes en créant le premier véritable chronographe-bracelet à double rattrapante. Le nouveau LANGE DOUBLE SPLIT est absolument unique car il ne possède pas seulement une, mais deux rattrapantes : une pour les secondes et une pour les minutes. De plus, toutes les aiguilles chrono et rattrapantes sont des aiguilles à retour-en-vol. |
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Sur le nouveau LANGE DOUBLE SPLIT, le principe de la rattrapante des secondes a été étendu au compteur des minutes sautantes. Qu’est-ce à dire ? Que pour la toute première fois, le chronométrage comparatif de temps allant jusqu’à 30 minutes en Formule 1, par exemple est désormais possible avec une montre-bracelet mécanique classique. La fonction chronographe : La fonction retour-en-vol: La fonction rattrapante: Si plus de deux chronométrages consécutifs doivent être réalisés une fois que les aiguilles ont collectivement démarré, on procède comme suit. Le premier temps, arrêté grâce au poussoir des rattrapantes, doit être mémorisé ou noté. Si l’on active une nouvelle fois le poussoir des rattrapantes, la rattrapante des secondes rejoint instantanément l’aiguille des secondes du chronographe pour tourner avec elle. Cette procédure peut être répétée aussi souvent qu’on le désire, aussi longtemps que l’aiguille centrale du chronographe continuera de tourner et que se poursuivra le chronométrage de temps successifs. La rattrapante du compteur des minutes : Le LANGE DOUBLE SPLIT possède un compteur des minutes doté de sa propre rattrapante. Ainsi la capacité de chronométrage de la rattrapante n’est plus limitée à 60 secondes, comme sur les chronographes conventionnels, mais étendue à 30 minutes. Techniquement, il a fallu dupliquer la construction de la paire de roues chrono/rattrapante. Plus précisément, la roue du compteur des minutes a été percée de part en part pour accueillir la tige de la deuxième roue de rattrapante. Comme le LANGE DOUBLE SPLIT contient un mécanisme de chronographe doté d’un compteur à minutes sautantes, la rattrapante du compteur des minutes saute elle aussi. Un dispositif de leviers spécifiquement développé chez Lange pour cet usage garantit son avancée régulière par sauts d’un cran par minute, au juste moment. Enregistrement d’un temps de référence : Si un temps enregistré au moyen des rattrapantes doit servir de référence pour les chronométrages ultérieurs, il peut être aisément « conservé ». Il suffit de laisser la rattrapante arrêtée sur cette position et de remettre à zéro l’aiguille des secondes du chronographe en activant successivement le poussoir démarrage/arrêt puis le poussoir « zero-reset » ou seulement le poussoir « zero-reset » pour une double action instantanée (retour-en-vol). La fonction chronographe normale peut alors être utilisée pour chronométrer un temps de référence et le comparer avec le temps affiché par les rattrapantes. Cette procédure pourra être répétée pour chronométrer autant de temps qu’on le souhaite. Enregistrement des valeurs extrêmes : Les mordus de technologie apprécieront une autre fonction permettant l’identification de minima et de maxima par exemple, le meilleur ou le moins bon de tous les temps chronométrés. Pour déterminer le meilleur temps d’une série, le premier temps est enregistré au moyen de la paire de rattrapantes, le deuxième à l’aide de la paire d’aiguilles du chronographe. A ce point les deux temps demandent à être comparés. Si le temps affiché par les aiguilles du chronographe est le meilleur des deux, cette performance doit être conservée comme le minimum, en appuyant deux fois de suite sur le poussoir des rattrapantes. La première activation provoque la synchronisation des rattrapantes avec les aiguilles du chronographe, la seconde activation les « fige » dans cette position. Si le temps indiqué par les rattrapantes est le moins bon, l’utilisateur n’a rien de plus à accomplir. Les aiguilles peuvent rester où elles sont. Le temps qui succède peut être enregistré et conservé, si souhaité en remettant à zéro, redémarrant et re-arrêtant les aiguilles du chronographe. Inversement, pour déterminer le moins bon temps, le poussoir des rattrapantes doit être activé deux fois si le temps enregistré par les aiguilles du chronographe est meilleur. Dans les deux cas, le temps affiché par les rattrapantes à la fin de la série de chronométrages constitue une des valeurs extrêmes (maximum ou minimum) de tous les temps enregistrés. Le mécanisme de débrayage mentionné ci-dessus, développement dont Lange détient la propriété, empêche la chute d’amplitude jusqu’ici inévitablement observée dans les chronographes de construction conventionnelle lorsque les aiguilles du chronographe tournent alors que les rattrapantes sont arrêtées. Normalement, le contact prolongé entre les cames cœurs des rattrapantes, en cours de fonctionnement, et les leviers de cœurs provoque des pertes d’énergie dues aux frottements et des fluctuations de couple. Dans le LANGE DOUBLE SPLIT, ces phénomènes perturbateurs ont été écartés car des roues de débrayage sur la roue des secondes et sur la roue des minutes de la rattrapante maintiennent les leviers de cœurs à distance des cames cœurs en cours de rotation. Ce dispositif est d’une influence bénéfique sur la précision du mouvement. |
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CABARET PHASES DE LUNE |
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La CABARET à cadran rectangulaire met en scène la grande date d’une manière étonnamment spectaculaire, semblant défier toutes les lois de la proportion. La montre n’en est pas à sa première. Voilà déjà dix ans, son mécanisme breveté à double disque, escamoté sous le double guichet du cadran, propulsait la date dans une nouvelle dimension. |
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1815 CHRONOGRAPH Cinq ans après l’introduction du sensationnel DATOGRAPH, l’élégante version chronographe de la « 1815 » enrichit la gamme de garde-temps Lange. |
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En 1999, les ingénieurs de la société ont insufflé une vie nouvelle à cet héritage et impressionné le monde horloger avec le lancement-événement du DATOGRAPH qui, salué dans le monde entier comme une réalisation remarquable, intégrait un savoir-faire technique ancestral, oublié de la profession depuis fort longtemps. Mais là n’est pas tout. En accord avec leur devise « progrès et tradition », ils élevèrent également le principe classique du chronographe à de nouveaux sommets. Doté d’un complexe mécanisme à roue à colonnes de conception classique, de la fonction retour-en-vol et d’un compteur de précision à minutes sautantes, leur nouveau calibre L951 marquait la renaissance d’un type de mouvement chronographe dont on n’avait plus vu d’exemple depuis l’époque des montres de poche à grande complication. Ce mouvement chronographe unique, calibre L951.0 sans grande date, anime désormais la montre Lange rappelant le mieux le style des anciennes montres de poche: la Lange 1815 CHRONOGRAPH |