L’Aquatimer Automatic 2000: c’est la nouvelle montre de plongée de la catégorie professionnelle. Chaque exemplaire est contrôlé à une résistance de 200 bars, ce qui correspond à une profondeur de 2000 mètres. Un bolide massif dans un grand boîtier de 42 mm, disponible exclusivement en titane mais doté au choix d’un bracelet en titane ou en caoutchouc. Avec un mouvement automatique, la date et une seconde centrale. Comme tous les modèles Aquatimer Automatic, cette montre se distingue par ses deux grandes couronnes conviviales qui, en raison de leur position décentrée, ne gênent pas le bras.
La couronne supérieure est vissée et fait partie de l’unité fonctionnelle du mouvement et des aiguilles.
La couronne du bas sur les «4 heures» est couplée à la lunette tournante interne unidirectionnelle (pour des raisons de sécurité) au moyen d’un engrenage raffiné. Pour une meilleure manipulation pendant la plongée, cette couronne n’est pas vissée mais largement conçue sous une forme «auto-étanche» et contrôlée plusieurs fois, ce qui équivaut à la protection des systèmes vissés.

Techniquement, cette montre de plongée limitée à 1953 exemplaires correspond exactement à l’Aquatimer Automatic.
Toutefois, elle présente un cadran bleu foncé, un bracelet en caoutchouc et, pour rappeler les couleurs des coraux, des marquages et des chiffres rouge orangé et luminescents sur la lunette tournante interne.
Le cadran porte l’inscription «Cousteau Divers».
Le fond en acier est gravé du sceau original de l’«Alcyone», le navire actuel de recherche de la Cousteau Society.
La représentation antique imagée présente la «fille du vent» dans son envol, qui provient de la mythologie grecque et qui fait référence à la propulsion Turbosail de l’«Alcyone». La limitation à 1953 exemplaires de cette montre Cousteau renvoie à la première expédition en mer Rouge de Cousteau, en 1953. Le voyage de recherche effectué en partenariat avec IWC a conduit également vers les zones de plongée explorées à l’époque.

L’«Aquatiming» à double signification est la spécialisation particulière des quatre chronographes Aquatimer en titane et en acier, soit avec bracelet en métal, soit avec bracelet en caoutchouc. Egalement disponibles avec un boîtier de 42 mm de diamètre, un mouvement de chronographe et un remontoir automatique, ces montres sont étanches jusqu’à 120 m et combinent les avantages du design fonctionnel de la famille Aquatimer à l’utilisation supplémentaire d’un chronographe qui a dû être adapté aux conditions spéciales d’une montre de plongée.
Un véritable défi pour les spécialistes d’IWC, étant donné que l’Aquatimer Chrono-Automatic conserve cette fonction supplémentaire indispensable à la plongée qu’est la lunette tournante interne. Pour y parvenir, un organe de commande, le bouton de remise à zéro du chronomètre sur les «4 heures», a été placé en mode bi-fonctionnel, c’est-à-dire en tant que couronne pour la lunette tournante unidirectionnelle et simultanément en tant que bouton poussoir pour le chronographe. Lorsque cet organe de commande combiné est pressé, la roue de transmission est automatiquement découplée avec celle de la lunette tournante. Cela facilite la manipulation de toutes les fonctions de la montre.

Pour la première fois, l’Aquatimer Minute Memory est une montre de plongée dans laquelle un chronographe avec remontage automatique et une mesure de temps additionnels allant jusqu’à 12 heures ne sont pas les seuls à être intégrés. En même temps, la montre a été dotée d’un mécanisme de Minute Memory à fonctionnement séparé et totalement indépendant du chronographe. Cette fonction supplémentaire unique au monde d’aiguille entraînée des minutes, qui peut être activée ou désactivée sous l’eau et jusqu’aux 120 m auxquels résiste la montre par un baladeur apposé sur la partie gauche du boîtier, est née d’une collaboration avec et sur proposition de plongeurs expérimentés.
Ceux-ci ont soulevé le point suivant: une montre de plongée dont la position zéro de la lunette tournante interne est portée, au début de la plongée, à hauteur de l’aiguille des minutes, affiche certes la totalité progressive du temps de plongée, mais une amélioration logique dans la pratique pourrait cependant consister à pouvoir mesurer de manière séparée et simple un deuxième temps intermédiaire, notamment pour la durée de la remontée contrôlée dans le temps (10 m/min recommandés) ou pour les arrêts de décompression à respecter. Et ce dispositif peut également servir de système d’urgence en cas de panne de l’ordinateur de décompression.

Cette fonction supplémentaire totalement indépendante de la plongée est rendue possible grâce à l’aiguille entraînée des minutes. Lorsque le mécanisme est enclenché par l’interrupteur à bascule stable et simple, l’aiguille entraînée qui se trouve sous l’aiguille des minutes reste bloquée. Le temps qui est ainsi gelé, à savoir la différence entre l’aiguille entraînée et l’aiguille des minutes qui continue à tourner normalement, indique lors de la plongée le temps intermédiaire, de remontée ou de décompression recherché. Lorsque le mécanisme de mémoire des minutes (Minute Memory) est désactivé, l’aiguille entraînée reprend immédiatement sa position sous l’aiguille des minutes.

Le «Tourbillon schaffhousois» va désormais faire une entrée en scène telle que le monde n’en a jamais vu.
Premièrement, en tant que «Tourbillon Mystère», il contracte pour la première fois une alliance avec la montre Portugaise.
Deuxièmement, pour la première fois aussi, il forme l’échappement du grand mouvement automatique IWC avec réserve de marche de sept jours, issu de la famille des calibres 5000; ici comme cal. 50900.
En outre, il sera mis en scène d’une manière totalement inédite à ce jour, en tant que «douze vivant» et, partant, en tant que centre visuel sur le cadran. Et ce dans un élément de cadran décoré en côtes de Genève.

La Grande Montre d’Aviateur avec mouvement automatique de sept jours,était parfois trop grand pour les poignets étroits. Ce bolide entièrement en état de voler, avec son boîtier de 46 mm de diamètre, a désormais atterri sous la forme de la Portugaise Automatic.
Plus légère, plus élégante et aussi nettement plus petite avec son boîtier mesurant 42 mm.
Elle a reçu de l’arsenal de la mécanique de précision d’IWC tout ce qui caractérise une montre-bracelet mécanique moderne, à savoir le plus grand mouvement automatique que l’on puisse trouver sur le marché mondial, avec le remontoir Pellaton breveté d’origine, une exclusivité IWC avec date bien lisible, «petite» seconde classique et, en contraste optique, l’affichage de la réserve de marche de sept jours.

La répétition des minutes. C’est ce mécanisme compliqué, se composant seul de 250 pièces, qui agit caché mais qui réjouit le plus le possesseur d’une montre à même de transformer l’heure minute par minute en des sons harmonieux. C’est prouvé. Sa tâche initiale était, à une époque sans l’omniprésence de la lumière électrique et sans aiguilles luminescentes, de «traduire» mécaniquement d’une manière inédite l’heure indiquée par les aiguilles d’une montre, à savoir par des mouvements compliqués des
rouages, du râteau et du levier, qui déclenchent à la fin des coups de marteau à l’heure précise sur des timbres de sonnerie. Les différentes séries de sonneries à leur tour peuvent être «lues» comme information du temps à la minute près.
Avec la Portugaise Répétition Minutes Squelette, IWC a donc fait le pas supplémentaire décisif: seuls deux fois 50 propriétaires d’une telle montre pourront dire à la fin, s’inspirant librement de Goethe: «Maintenant je sais tout.» Ils auront fait l’expérience en direct non seulement auditive mais aussi visuelle du mécanisme le plus raffiné dans le domaine des grandes complications.